Voyage à Madère

Vendredi 13 avril 2018

Aujourd’hui nous allons essayer d’aller à MONTE, afin de voir ces fameuses luges en osier.

Fort de la première tentative manquée, pour cause de trop nombreux touristes, nous nous levons suffisamment tôt pour arriver les premiers. Le téléphérique démarre à 9h00, nous sommes présents à l’ouverture.

Lorsque nous entrons dans une des bulles, nous ne sommes que tous les deux. C’est parfait pour filmer et prendre des photos.

Au bout de quelques minutes et de quelques dizaines de mètres d’élévation, Nicole « frisera » crise lla d’angoisse.

 Mais avec une grande volonté elle ira au bout en prenant sur elle. Par contre nous n’effectuerons pas la descente en téléphérique…

Après 3000 m d’ascension dans cet « œuf », nous arrivons à la plateforme finale dans un grand soulagement : Nicole car elle cesse aussitôt son angoisse et moi car je me serai trouvé démuni si elle avait craqué.

Aussitôt nous allons au pied de l’église d’où partent les « carreiteros » (conducteurs de luges).

La descente nous coute 30 euros, mais on ne peut pas venir à MADÈRE sans faire cette descente.

Deux minutes dans une rue ayant une pente d’environ 10 à 15%. Au milieu nous avons rattrapé la luge parti avant nous ce qui nous a ralenti : dommage.

 Il faut tout de même saluer la dextérité de ces conducteurs qui ont une maîtrise exceptionnelle de leur engin.

Une fois sur l’aire d’arrivée, nous achetons la photos souvenir (il faut bien les faire vivre…) et nous décidons de descendre à FUNCHAL, à pieds. Sur 2,5 km, la rue est toute droite, avec une pente moyenne de 15%. Il vaut mieux la descendre que la monter…

A 12h30 nous allons déjeuner au même restaurant que le premier jour (A BICA), tout près du marché des laboureurs que nous revisitons  une nouvelle fois.

Vers 14h30 nous rentrons nous reposer. La « farniente » fait aussi partie des vacances ! 

Notre semaine se termine demain samedi 14 avril 2018.

Nous vous recommendons ce séjour qui, de toute évidence restera dans notre mémoire.

Un grand merci, à nouveau, à tous ceux qui l'ont permi...ils se reconnaitront.

Jeudi 12 avril 2018

Ce matin ayant décidé d’aller au nord de l’île, nous descendons dans la salle de restaurant afin d’y prendre unpetit-déjeuner copieux.

Nous partons à 9h45 en prenant la direction de l’Est par la VR1 et arrivés à RIBEIRA BRAVA nous remontons plein nord afin de traverser le massif montagneux de l’île grâce au tunnel d’ENCUMEADO .  Jusqu’à l’entrée du tunnel toute la montée se fait sous la pluie mais le tunnel est traversé sans problème.  Après 3 km de tunnel nous débouchons sur la vallée de SAO VICENTE, totalement dans le brouillard, qui amène plein nord.  

Arrivée à SAO VICENTE nous prenons nord-ouest la mer est déchaînée. Mais comme le mauvais temps commence à se lever, c’est magnifique.  Devant le déchaînement des vagues, on se croirait en Bretagne.

Nous nous arrêtons à SEIXAL petit village avant PORTO MONIZ, mais rempli de charme.  Sur le port de SEIXAL,  on peut y admirer de petites piscines naturelles au milieu des rochers basaltiques.

 Les quelques tunnels qui existent entre  SEIXAL et PORTO MONIZ, sur environ une vingtaine de kilomètres, sont absolument nécessaires car sans eux nous ne pourrions pas prendre la petite route côtière qui est complètement barrée par des éboulis.

 Nous arrivons à PORTO MONIZ, il est 11h. Nous repérons le restaurant où nous allons manger puis nous effectuons le tour de la petite station.

Très joli village situé à l’extrémité nord de l’île de madère. Nous trouvons, aux deux extrémités de Porto Moniz, des piscines naturelles différentes mais chacune ayant leur charme.

PORTO MONIZ est LA station balnéaire prisée et reconnue pour ses piscines qui, l’ét, sont bondées.

 Quelques emplettes souvenirs sont effectuées puis nous allons nous restaurer : il est 12h30.

Dans une très belle salle panoramique, nous déjeunons face au Rocher de l’extrémité nord de PORTO MONIZ et face à une mer qui et à l’étal vers 14h. Repas local, particulièrement savoureux et très copieux. Le tout pour à peine 32 euros, boissons comprises.

Ensuite nous décidons de rentrer tranquillement sur FUNCHAL en prenant la ER110 QUI  va nous faire longer la côte. Du moins une partie de la route est à flanc de montagne puis descend fortement hauteur de JARDIM do MAR.  Pour ateindre la côte, toute la descente à flanc de montagne s’effectuera à travers de petits villages et surtout de très très belles forêts d’eucalyptus dont les senteurs embaument la voiture.  Le ciel est au beau fixe, maintenant que nous avons atteint la côte sud.

Nous profitons du retour vers FUNCHAL pour faire une nouvelle halte à CABO GIRAO ce magnifique point de vue situé à plusieurs centaines de mètres au-dessus de la mer, puis nous effectuerons également un nouvel arrêt à CAMARA de LOBOS.

Le retour à l’hôtel s’effectue aux alentours de 17h30.

Ce soir, à la nuit tombée, nous irons faire une promenade sur la jetée du port à FUNCHAL afin de profiter une nouvelle fois de la ville enluminée.

Ce matin il ne fait pas très beau et nous décidons de prendre notre temps. Ainsi le petit déjeuner se fait tranquillement et lorsque nous quittons l’appartement il est aux alentours de 10h30.

Nous commençons à avoir nos petites habitudes et nous nous dirigeons, sans GPS, au cœur de Funchal où nous nous garons comme à l’accoutumée dans le parking sous l’Hôtel Prestana Ronaldo.

Nous avons prévu d’aller à MONTE au-dessus de FUNCHAL en téléphérique. En effet, là-haut il y a possibilité de visiter le jardin botanique d’une part mais aussi d’effectuer une de ces fameuses descente dans des luges en osier (appelée Carros de Cesto) poussées et retenues par des hommes.

Ce matin il fait particulièrement lourd, par rapport aux derniers  jours et nous allons,  par la promenade le long du port, en direction des cabines de téléphérique. Au passage nous nous apercevons qu’un énorme navire de plaisance est à quai et qu’il déverse énormément de touristes. Ça nous laisse à penser qu’il risque d’y avoir de la queue au téléphérique est probablement de l’attente aussi pour descente en panier. Effectivement, arrivés à la base de départ du téléphérique, Nicole me montre une file d’attente impressionnante tant aux caisses que dans les escaliers qui mènent aux œufs.

 Notre  décision est vite prise nous n’irons pas ce matin (quand je dis ce matin, il est déjà 11h). Comme nous sommes dans la vieille ville nous allons reprendre la promenade et visiter quelques magasins ou bazars célèbres jusqu’à  l’heure du repas.

 Nous avons sélectionné un nouveau restaurant et nous nous y rendrons aux alentours de 12h30.

 Durant le repas, local comme à l’accoutumée, nous décidons de monter au Pic Aeiriero, que nous avons vu de loin et qui est en face le Pic de Ruivo.

Ainsi, aux alentours de 14h30 nous prenons la voiture et entamons la monte très longue (et très raide) qui va nous amener jusqu’au sommet du Pic Aerieiro qui est assez particulier car on peut aller jusqu’en haut en voiture par le versant qui vient de Funchal,  mais on peut également, en arrivant de l’intérieur des terres par les autres versants, notamment par la côte nord, faire toute la montée par le GR.

La journée bien rempli d’hier fait que nous préférons y aller en voiture.  Nous avons bien fait car, arrivés en haut, un très fort vent nous plaque au sol. De plus nous sommes totalement dans les nuages à 1810 m et nous ne voyons absolument rien autour de nous.

 Nous avons passé  une petite demi-heure au sommet à visiter les boutiques de souvenirs et à faire quelques photos autour du radar militaire qui est à cet endroit.

 La montée a été particulièrement difficile : en effet, même si je ne connais pas toutes les routes des Alpes, je dois avouer que je n’avais jamais pris de routes aussi pentues.

 Dès le pied de la montée nous des pourcentages d’au moins 30 % . Je n’ai jamais roulé sur des routes aussi difficiles. La descente par l’autre versant sera beaucoup plus aisée.

 N’ayant pas passé beaucoup de temps en haut, il n’est que 15h00, je propose à Nicole de pousser jusqu’à la pointe extrême de la péninsule, à l’est de l’île. Aussitôt dit aussitôt fait ! Nous partons sur la presqu’île de SAO LOURENÇO voir comment est le paysage là-bas.

 Effectivement le paysage est différent mais tout aussi beau. En descendant la côte sur ce versant nord, nous croisons des moutons noirs, çà et là, totalement libre d’aller où ils veulent. Il faut faire attention, à chaque virage, de ne pas en rencontrer un.

 Arrivés à la presqu’île, Nous effectuons une petite promenade le long du littoral. Mais cette presqu’ile sous influences des vents du Nord. Aussi, assez vite nous essuyons un petit crachin. Mais là encore, la beauté du paysage en vaut la peine. Vers 17h le retour s’effectuera avant le rush des travailleurs.

 Nous rentrons à l’appartement il n’est pas loin de 18h.  Journée calme, donc, mais quand même très agréable.

 Demain nous irons sur la côte nord, on vous racontera ça.

Mardi 10 avril

Ce matin, un grand soleil est au rendez-vous dès 8h00.

 Nous décidons d’aller faire la montée jusqu’au sommet du PIC DE RUIVO, ainsi qu’une visite de quelques sites remarquables.

Nous partons vers 09h30 et  nous dirigeons vers l’Est de l’île. Nous allons nous rendre sur la côte Nord par MACHICO, PORTO DA CRUZ , FAIAL et enfin SANTANA.

Jusqu’à SANTANA,  ce ne sont que des tronçons routiers avec les éternels tunnels.

Arrivés à SANTANA, le temps à complètement changé et le thermomètre est descendu à 12 °. Le ciel est très chargé et en regardant vers les cimes, on ne voit que les nuages…Tant pis, on y est alors on va jusqu’au bout !

A l’entrée de SANTANA, à hauteur du parc à thème, on tourne à gauche pour entrer vers le centre de l’île et là,  Boum, obligé d’enclencher la 1ere tant la côte est raide ! Il faut dire qu’on nous à donnée une jolie 2008 flambant neuve, mais le moteur est un 1,1 l  essence  à 3 cylindre. Autant dire qu’il n’y a pas de couple et je ne cesse de passer en seconde ou première à chaque Virage.

Mais d’emblée ce qui me surprends,  c’est d’arriver par deux fois à des stop qui se situent en haut d’une rue avec un pourcentage d’au moins 15 à 20 % et ce n’est pas une blague de marseillais ! Bonjour les démarrages en côte avec ce « moteur solex »

Heureusement il n’est que 10h00 et il y a peu de monde dans ce secteur, d’autant que nous sommes en semaine.

La montée de 17 km se fera à faible allure et totalement dans les nuages. Arrivée à ACHADA  do TEIXEIRA, à 10h30, il y a un grand parking. 

Nous y laissons la voiture et après nous être vêtus chaudement (car il ne fait plus que 7° et le vent souffle fort), nous commençons l’ascension finale, ce  qui ne fait que 3 km environ pour 500 mètres de dénivelé. La pente est irrégulière tantôt plate tantôt très raide.

Le plus gênant c’est que nous sommes, toute proportion gardée, comme dans le blizzard : le vent souffle très fort et nous n’y voyons pas à plus de 15m.

De sorte que nous ne verrons rien de ce qui nous entoure, ni les pentes vertigineuses, ni les massifs avoisinants.

Arrivés au somment, à 1860 m, après 1h45 de montée, il est 12h00.

Et là, par enchantement le ciel se dégage soudainement de ses nuages et nous découvrons un paysage EPOUSTOUFLANT. Ayant pris un peu d’avance sur Nicole, je filme immédiatement à 360° afin d’imprégner cette Majesté de la nature avant qu’elle ne se voile à nouveau.

En fait nous allons y rester 45 minutes avant de redescendre tant la vue est superbe. Les nuages, poussés par ce fort vent, passent à grande allure, nous permettant de voir ou ne plus voir, tour à tour, les détails de ce décor sublime.

La descente sera faite sous le soleil total, ce qui nous aura permis de découvrir, en fait, ce que nous avons gravi le matin.

Il est 14h15 lorsque nous reprenons la voiture direction RIBEIRO FRIO, où nous souhaitons nous arrêter pour nous promener le long d’une de ces fameuses LEVADAS qui parcourent l’île.

 Les levadas sont des petits canaux creusés à flanc de montagne pour y recueillir les eaux de pluies avant qu’elles ne se perdent trop vite dans l’océan. Chacun de ces petits canaux  en bétons est suivi tout le long de son parcours par un sentier.

 Ils y en a pour tous les niveaux de randonneurs : du plus simple pour les familles, aux très techniques et longs pour les trekkeurs.

Celui d’aujourd’hui sera très facile.

Mais avant, nous commençons à avoir un petit creux, malgré les barres mangées au sommet.

Aussi nous allons nous arrêter au « Faisca Snack Bar », recommandé par tous les guides : cuisine familiale de qualité et peu onéreuse.

Nous sortons de table à 16h00 et effectuons notre promenade le long de la levada qui va nous mener au MIRADOR de BALCOES.

Après environ 1,5 km de marche nous arrivons à un point de vue superbe sur les PICO do ARIEIRO et RUIVO, plus hauts sommets au centre de l’île.

Le retour à notre hôtel sera effectué vers 18h00 après le passage du col de PASO, 1400m, suivila  traversée d’une très belle forêt de pins immenses et sur une route très pentue.

Il me reste à vous donner rendez-vous à demain.

Ce matin, même temps qu’hier. Soleil en bord de mer et nuages en montagne. Nous allons visiter la vieille ville.

Très jolie et ayant gardée le charme de l’époque ancienne des colonies. De nombreuses boutiques traditionnelles sont à découvrir et nous ne nous en privons pas.

 Toujours armés du guide (Routard) que nous suivons au plus près, nous découvrons donc cette jolie station où vécurent entr’autre Christophe Colomb,  La reine Sissi, Churchill et où est né Ronaldo.

Ce dernier contribue d’ailleurs à aider son île natale en y  investissant une partie de sa fortune.

Nous visitons la cathédrale de SÉ. Bien qu’en ayant le titre de cathédrale, elle ressemble plus à une grosse église de chez nous. On s’arrête sur le parvis pour admirer cette façade siple aux contrastes marqués par le noir, le rouge et le blanc.

Le marché des Laboureurs est un lieu incontournable. Ca grouille de toute part : un vrai lieu de vie…En entrant ce sont des successions d’étals de fruits, légumes, épices tous plus colorés les uns que les autres et ça sent bon. En sous sol nous pouvons admirer la découpe des poissons les plus prisés ici : le fameux poisson sabre (espedata) ainsi que le thon (énorme).

Nous goûtons une curiosité : la banane- ananas. C’est unique de cette île  et très bon. Nous en achetons une pour le goûter.

A l’étage d’autres étals tout aussi colorés  ainsi que le « cafe dos macarones » réputé avec sa terrasse qui domine la vieille ville.

Nous nous arrêtons également afin d’admirer les dentelles réputées et fines dans une maison spécialisée.

 Nous flânons dans les rues jusqu’à l’heure du repas que nous prenons dans un petit restaurant, en sous sol, " A Bica ".

Une adresse qui ne paie pas de mine et qu’on pourrait  louper facilement. Table nappée, déco rappelant les temps anciens de Funchal. Repas simple, mais très traditionnel de l’île : nous goûtons au fameux poisson sabre avec ses accompagnements, tout aussi simples, de pommes de terre, riz et Brocolis cuits à la vapeur « al dente » ; ainsi que l’inévitable salade verte accompagnée de ses tomates.

Nous finirons l’après midi par quelques achats « pratiques ».

A demain pour de nouvelles découvertes.

Samedi 7 avril 2018

Nous nous levons à 4h30. A 5h45 nous rejoignons l'aérogare Orly Sud. Le passage au contrôle sera effectué dans les premiers car nous avions effectué notre enregistrement et reçu nos carte d'embarquement préalablement par internet.

A 6h15 nous sommes assis devant la porte d'embarquement: ce dernier est prévu à 6h45.

A l'appel des passagers nous nous levons et sommes parmis les 6 premiers. Nous resterons debout (comme tout les passagers) durant une heure. En effet nous apprendrons une fois à bord que l'avion,  qui sortait de révision périodique, attendait qu'on le sorte de son hangard: problème de tracma (trateur spécial pour aéronefs).

Nous avons donc décollé avec une heure et quart de retard.

L'arrivée s'est donc effectuée à l'aéroport de Madère (éloigné de 17 kilomètres de Funchal) à 11h30 locale (- 1heure avec Paris).

La couche nuageuse est basse et occasionne des turbulences. Après avoir effectué son hyppodrome d'approche, notre boeing s'alligne sur la piste face au vent. C'est impressionnant car cette piste parmi les plus dangereuse au monde (top 10) à cause notamment des vents changeants, à été prolongée sur pilotisfaite sur pilotis, au dessus de la mer. De plus, jusqu'au "toucher de roues", l'avion subi de terribles secousses qui effraient certaines personnes sensibles. 

Le temps de trouver les bagages il est 11h50 quand nous allons récupérer notre voiture réservée depuis des mois.

Nous effectuons les formalités et allons prendre une splendide Peugeot 2008, flambant neuve.

A peine sortis du parking, nous prenons une mauvaise direction et partons à l'opposé de Funchal...Il faut dire qu'il y a des routes partout, que le marquage et un peu déroutant et surtout que mon GPS fonctionnant avec Waze me parle en Portugais...

De plus la batterie est de plus en plus faible et nous craignons de ne pas être guidés jusqu'au bout.

Finalement Waze (après que nous ayons programmé la langue française) nous ammène devant l'hôtel et nous nous garons sur un emplacement réservé aux Taxis, mais nous ne le savions pas.

Le temps de décharger les baggages et nous effectuons un long tour de quartier (plusieurs kilomètres) pour arriver derrière l'hôtel où se situe son parking réservé. 

A la réception (comme celà nous était arrivé à Rhode) on nous fait savoir que la chambre ne sera prête que dans deux heures; il est 13h 15 nous allons déjeuner à un restaurant situé juste à côté de l'hotel.

Enfin, quelques heures plus tard, nous nous installons dans notre chambre qui s'avère être un appartement de 65 m2. Spacieux et confortable, le séjour commence enfin. 

Voilà pour notre installation, à demain soir pour le débriefing de la journée de dimanche.

Vendredi 6 avril 2018

Nous voilà partis pour Funchal, île de Madère. Nous passerons la nuit à l'hôtel "Ibis Paris Coeur d'Orly" afin de passer une bonne nuit avant l'embarquement qui aura lieu demain 7 avril à 07h30 heure française.

Nous savons qu'il y a un décalage horaire de une heure en moins à Funchal...

Bonne soirée et à demain pour de nouvelles informations.